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Algérie Selon le ministère de la Santé : “30.000 malades mentaux suivent un traitement dans les hôpitaux”

El Moudjahid | Algérie | 09/10/2006 | Lire l'article original

Quelque 30.000 malades mentaux sont soignés dans des hôpitaux universitaires, des centres spécialisés et dans les secteurs sanitaires, a souligné le docteur Nacéra Magi vice-directeur chargée de la santé mentale au ministère de la santé, de la population et de la réforme hospitalière, à la veille de la célébration de la journée mondiale de la santé mentale, S’appuyant sur des donnés de L’organisation Mondiale de la Santé (OMS), le docteur Magi a estimé le nombre des malades mentaux en Algérie à 150 mille, notamment dans les grandes villes.


Le docteur a indiqué dans le même contexte que "le ministère de la santé a redynamisé le programme national de prise en charge de la santé mentale pour les 4 années prochaines (2006-2009) et l’ouverture de nouveaux centres de proximité et des services au niveau des secteurs sanitaires afin de rapprocher la santé des citoyens et de soulager les familles atteintes par cette maladie, tout en dotant les wilayas de Sidi Bel-Abbès, Mostaganem, Batna et la daïra de Sour el Ghozlane de 444 lits, qui s’ajoutent à 4722 autres existants au niveau national".

"Le taux des lits existant, de l’ordre de 1,43 lits pour 10 mille habitants s’avère insuffisant au niveau national et le ministère prévoit au titre du programme national de doter les secteurs sanitaires de lits d’urgences pour alléger la pression sur les grands centres hospitaliers", a indiqué le docteur.

Concernant les médecins spécialistes Mme. Magi a affirmé que le pays compte 378 médecins spécialistes, soit 1,13 pour 100 mille habitants et 2128 infirmiers, soit 6,44 pour 100 mille habitants, estimant que "ce chiffre ne couvre pas les besoins des populations dans cette spécialité et que le ministère a formé des médecins généralistes et des paramédicaux dans 108 centres intermédiaire à travers 46 wilayas pour la prise en charge des malades".
La même responsable a indiqué que la mission des centres de proximité intermédiaire se focalise dans le diagnostique et le transfert des malades vers les centres spécialisés et les hôpitaux universitaires pour bénéficier de soins intensifs. Le nouveau programme national vise à "développer la médecine mentale et psychiatrique, en sus de l’information visant les enfants, les adolescents et les toxicomanes" et cela "à travers la consolidation de la formation dans ce secteur et le renforcement des moyens dans les centres intermédiaires qui prennent en charge ces couches.

Dans le même contexte, le docteur Magi a indiqué "qu’il n’existait qu’un seul centre hospitalo-universitaire, un centre spécialisé et trois centres intermédiaires qui prennent en charge les toxicomanes, un nombre estimé insuffisant" selon elle, avant d’ajouter que "le secteur sera doté de cinq autres centres pour la prise en charge de la toxicomanie répandue chez les jeunes". En ce qui concerne les malades mentaux qui vagabondent dans les grandes villes, le docteur Magi a souligné que "leur prise en charge demande la coordination des efforts des ministères de l’intérieur, de la solidarité nationale et de la santé public".

Le ministère de la santé a élaboré une directive à caractère juridique portant sur la prise en charge des malades mentaux en situation de vagabondage, mais elle ne sera opérationnelle qu’après leur recensement par les communes, a-t-elle indiqué, tout en ajoutant que "le ministère de la santé ne peut à lui tout seul de prendre en charge ces malades, car il faut des centres sociaux pour les accompagner, et aussi la famille qui a un rôle à jouer".

Concernant les médicaments destinés à ces malades notamment les calmants, le docteur a souligné qu’ils "sont offerts gratuitement au niveau des hôpitaux, affirmant des interruptions momentanées, mais le nouveau programme vise a réorganiser leur distribution et les rendre disponibles dans l’ensemble des centres”.

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