• XIXème Congrès Maghrébin de Dermatologie - 15 au 17 novembre 2007 - Rabat - Maroc
• 1er congrès « MOVE » consacré à la "Santé et exercice physique" - 15 au 18 novembre 2007 - Marrakech - Maroc
• 1ère journée nationale de pharmacovigilance - 16 novembre 2007 - Rabat - Maroc
• Le 5ème congrès national de médecine & chirurgie esthétique & 1ère journée nationale de médecine anti-âge - 21 au 23 novembre 2007 - Alger - Algérie
• 5ème congrès national de médecine et de chirurgie esthétique - 21 et 22 novembre 2007 - Alger - Algérie
• 10ème congrès maghrébin de cardiologie - 22 au 24 novembre 2007 - Marrakech - Maroc
• 6èmes rencontres nationales d’éthique et de déontologie médicales - 22 novembre 2007 - Alger - Algérie
• 7ème congrés de AMOSEP - 23 et 24 novembre 2007 - Marrakech - Maroc
• XIème journée régionale d’hygiène hospitalière - 1er décembre 2007 - Bizerte - Tunisie
• Congrès International de Médecine et de Chirurgie - 5 et 6 décembre 2007 - Khenchla - Algérie
• 1er congrès international de toxicologie - 5 et 6 décembre 2007 - Alger - Algérie
• 3ème congrés francophones de stomatologie et chirurgie maxillo-faciale - 6 au 8 décembre 2007 - Hammamet - Tunisie
• Congrès annuel de la Société Marocaine des Maladies de l'Appareil Digestif (SMMAD) - 7 et 8 décembre 2007 - Rabat - Maroc
• 9ème atelier international sur l'endoscopie thérapeutique - 8 et 10 décembre 2007 - Caire - Egypte
• Journée de formation médicale continue - 13 décembre 2007 - Chlef - Algérie
• 26ème congrès de la société algérienne d'endocrinologie et métabolisme - 9 et 10 janvier 2008 - Alger - Algérie
• 11èmes congrès de l'association des orthopédistes de langue française AOLF - 22 et 26 avril 2008 - Marrakech - Maroc
• 27ème congrès international des dermatologistes francophones - 11 au 14 février 2009 - Alger - Algérie

La faculté de droit et des sciences sociales de l'université du 8 mai 1945, à Guelma, organisera les 19 et 20 novembre 2007, la première édition d'un colloque international sous le thème: «Santé et société», qui se déroulera au campus Souidani Boudjemâa. D'éminentes personnalités des domaines de la santé de la sociologie, de l'économie et d'autres universitaires de Guelma, Alger, Blida, Oran, Biskra, Khenchela, Annaba, Skikda, Tébessa, Constantine et Bordeaux (France) participeront à cette manifestation scientifique pour enrichir et animer les débats sur le thème.  Lire la suite

Le service de neurologie du CHU Nedir-Mohammed de Tizi Ouzou organise pendant deux jours (hier et aujourd’hui) les premières journées médicales postuniversitaires réservées aux maladies neurologiques. Des spécialistes venus des wilayas d’Alger, d’Annaba, d’Ouargla, de Blida et de Tizi Ouzou ont pris part à ces journées. Les douleurs neuropathiques, les épilepsies, les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, les accidents vasculaires cérébraux et la sclérose en plaques sont les principaux thèmes abordés dans les 26 communications programmées à l’occasion.  Lire la suite

Désormais, le diabète est devenu un véritable fléau qui ronge la santé des adultes tunisiens mais aussi des jeunes. Les spécialistes sont unanimes quant à l’aspect alarmant des chiffres récents qui font état d’un avancée sensible dans nos murs de cette terrible maladie. La célébration hier de la Journée mondiale du diabète a révélé un bilan très alarmant de la prévalence de cette maladie chronique dans nos murs. En effet, le diabète est désormais en passe de devenir un véritable fléau. Selon une étude multicentrique de dépistage du diabète de type 2 chez les patients à risque, entamée en 2003 avec l’objectif d’atteindre 10000 personnes dépistées, 5321 Tunisiens qui ne se savaient pas diabétiques, ont été examinés. Sur la totalité de ces personnes âgées entre 35 et 98 ans, la moitié présentait plus d’un facteur de risque. Quant à la prévalence de la pathologie, elle est de l’ordre de 35,1%. Ce qui est énorme et atteste d’ailleurs du classement de la Tunisie parmi les pays à plus haute prévalence.  Lire la suite

Les travaux de réfection actuellement entrepris à l’intérieur de certains services de l’hôpital 240 lits de Béchar présagent-ils d’une initiative des responsables de l’établissement hospitalier ? En tous les cas, selon la direction de l’hôpital, une nouvelle dynamique est en train de s’instaurer et va incessamment se matérialiser par l’introduction prochaine de la chirurgie vasculaire. Une première expérience dans un hôpital du Sud, affirme-t-on fièrement. Toujours selon le premier responsable de l’hôpital, des contacts ont été pris avec le Pr Leman, chef de service de la chirurgie vasculaire du CHU de Grenoble (France), qui a donné son accord pour une visite dans la wilaya. Il arrivera en janvier prochain pour opérer mais aussi pour initier les chirurgiens algériens à cette spécialité. On indique aussi que la pathologie est pénible pour ceux qui en sont affectés et ses conséquences sont âpres à supporter, notamment pour les diabétiques touchés par l’artériopathie oblitérante. Pour le chirurgien Mahjoub, de l’hôpital, il s’agit avant tout de démystifier la maladie en tant que telle pour la rendre banale.  Lire la suite

Le CHU de Beni Messous s’engage dans la lutte antitabac pour faire de l’établissement un hôpital sans tabac. Une journée d’information et de sensibilisation a été organisée hier à cet effet par le comité de lutte antitabac présidé par le professeur Douagui. Une manifestation qui s’inscrit dans le cadre de l’instruction ministérielle du mois d’octobre dernier faisant obligation aux CHU de créer un comité de lutte antitabac au sein des hôpitaux. Ce comité est chargé de mettre en place un plan d’action pour aboutir à court terme à un CHU sans tabac. Des communications portant sur l’impact du tabac et ses conséquences catastrophiques sur la santé humaines ont mis en relief les dangers de ce fléau.  Lire la suite

A l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète, l'association des diabétiques de la wilaya de Boumerdès organise, à la salle des conférences de l'université M'hamed Bougara, le 2ème salon du diabète avec la collaboration de la Société algérienne de diabétologie (SAD). C'est aussi une opportunité pour les membres de cette association de prise en charge des patients diabétiques, d'exposer leurs préoccupations et leurs doléances car, selon le président de cette entité de la société civile, M. Mohamed Mokri, «le diabète est désormais un véritable problème de santé publique».  Lire la suite

Le diabète, une maladie chronique qui pèse par ses symptômes sur un enfant atteint et aussi par son coût de prise en charge. Le prix de revient mensuel d'un enfant diabétique s'élève à 10.322 DA. Une somme importante qui pousse certains malades à abandonner leur traitement car leurs familles ne peuvent supporter ces frais. Pour les familles multiplex, ayant plusieurs cas de diabète parmi ses membres, le problème est multiplié par le nombre de personnes atteintes. Une situation très complexe, si l'on sait que des 2.037 cas de diabète de type 1 suivis entre 1975 jusqu'à l'année 2006, 105 familles multiplex ont été recensées.  Lire la suite

USP Hospitales, gestionnaire délégué des 13 polycliniques de la CNSS, démarre son activité à partir d'avril 2008. Le groupe espagnol table sur un chiffre d'affaires de 55 millions d’euros en 2008-2009. Le groupe hospitalier privé espagnol USP Hospitales, qui vient de remporter, sur le papier, l'appel d'offres portant cession des cliniques de la CNSS, a annoncés qu'il va démarrer ses activité au début du deuxième trimestre de l'année prochaine. «Si tout va bien, car rien n'est encore décidé. Les négociations sont encore en cours», affirme Mohamed Afifi, directeur de la stratégie à la CNSS. «C'est une opération nationale qu'il faut le mener avec toutes les précautions nécessaires.  Lire la suite

Les 13èmes journées nationales d’hygiène les 14 et 15 novembre 2007 à Hammamet. Être en bonne santé, c’est avoir les capacités physiques et psychiques saines et pouvoir s’intégrer, par conséquent, dans la société. Dans ce cadre, certains éléments ont un impact direct sur la santé, à savoir les conditions de vie dont l’habitat, l’alimentation et le transport, entre autres, en font partie. Les conditions de travail et la qualité de l’environnement compte également beaucoup dans la santé de l’individu. Le mode de vie adopté par chacun de nous peut être pris en compte dans le diagnostic de la santé générale. Les spécialistes dans le domaine de la santé estiment nécessaire de rectifier certains comportements afin de préserver la santé pour les générations actuelles et futures.  Lire la suite

Le service de neurologie du Centre Hospitalo-Universitaire (CHU) de Tizi Ouzou organise à partir de demain la première journée médicale post-universitaire de neurologie. Cette manifestation scientifique, qui se déroulera au bloc pédagogique du CHU, regroupera 300 praticiens de la région et sera encadrée par des professeurs de renom : Arezki Mohamed, Sadi Belouiz, Aït Kaci et Abada. Pour le docteur Daoudi Smaïl, chef de service de neurologie au CHU de Tizi Ouzou : « Cette rencontre permettra de mettre l’accent sur la vulgarisation et le diagnostic précoce.  Lire la suite

La capitale croule sous les ordures. Des dangers sur la santé humaine sont à redouter. Quelles seraient, de votre point de vue, les conséquences de cette situation ? Il n’y a pas malheureusement que la capitale qui croule sous les ordures. Ce sont toutes les villes d’Algérie qui sont touchées par ce problème. J’ai eu à constater cela dans le cadre de mes enquêtes menées à travers les petites et les grandes villes du pays. Effectivement, il y a des endroits où la propreté n’est pas totale. Le danger est réel sur le plan sanitaire. D’importantes quantités d’ordures et autres déchets favorisent la prolifération des rongeurs, des rats et des moustiques.  Lire la suite

Dans le souci d’améliorer les prestations de santé et d’aller vers d’autres spécialités médicales, le secteur de la santé de la commune d’Arzew vient de se doter d’un nouveau scanner de dernière génération, pour la radiologie laser. Selon un responsable du centre hospitalier d’El Mohgoun, cet appareil est important dans le développement des services de santé publique ainsi que pour arriver à faire face aux besoins médicaux et de prise en charge des patients dans le domaine de la radiologie. La manipulation de cet appareillage compliqué a nécessité l’organisation d’un cycle de stages au profit de certains médecins spécialisés, à l’hôpital régional militaire d’Oran, qui dispose d’un appareil de radiologie identique.  Lire la suite

La Journée mondiale sur le diabète, célébrée le 14 novembre de chaque année, est une occasion pour attirer l'attention des décideurs politiques, des gestionnaires de santé, des organismes payeurs et des scientifiques sur cette maladie. Le diabète doit être considéré aujourd'hui, comme une priorité sanitaire mondiale. La Fédération internationale du diabète parle de ‘'véritable pandémie'' de diabète dans le monde à cause de ses conséquences néfastes sur la santé et l'économie. D'ailleurs, les statistiques, à l'échelle internationale, tirent la sonnette d'alarme. Les chiffres sont édifiants : 3,2 millions de décès sont enregistrés chaque année à travers le monde, soit un décès sur 20. Au moins 1 décès sur 10 chez les adultes de 35 à 64 ans est imputable au diabète.  Lire la suite

Chaque année 70.000 enfants de moins de 15 ans développent un diabète de type 1, dont la fréquence augmente d’environ 3% par an. Des praticiens internationaux ont mis en garde contre l’expansion du diabète qui affecte aussi les enfants et les adolescents, à l’occasion de la Journée mondiale du diabète, aujourd’hui, consacrée cette année à l’enfant et l’adolescent. Toutes les 5 secondes, une personne développe la maladie et quelque 380 millions d’individus risquent d’être concernés d’ici à 2025, selon la Fédération internationale du diabète (FID). Cette expansion mondiale "inquiétante" s’accompagne d’une progression non moins alarmante de la maladie chez les jeunes. Chaque année 70.000 enfants de moins de 15 ans développent un diabète de type 1, dont la fréquence augmente d’environ 3% par an.  Lire la suite

Près de 374.000 personnes seraient épileptiques au Maroc d'après une étude faite à Casablanca. Si dans les pays occidentaux la prévalence se situe entre 0,5 et 0,8%, dans les pays en développement, elle varie entre 1 et 5%. Au Maroc, elle est de 1,1%. r, malgré le nombre élevé de malades, l'épilepsie est toujours aussi méconnue et la prise en charge fait défaut. Le point sur cette pathologie trop longtemps restée mystérieuse.  Lire la suite

Un jour, un malade demande à son médecin : « Je voudrais être traité par la chimiothérapie orale au lieu de celle injectable». Le praticien lui répond : «Oui, mais elle ne peut être prescrite à tout le monde. Elle a des indications particulières et spécifiques ». Si ce patient a formulé une telle requête, c'est que le premier traitement, oral, présente des avantages par rapport au second. « Les produits utilisés en chimiothérapie orale sont purifiés et offrent plus de confort et une meilleure qualité de vie au malade. Ils sont de plus en plus sollicités par les patients et prescrits par les médecins. Et pour cause, cette chimio présente moins d'effets secondaires vu que le traitement est réparti sur plusieurs jours.  Lire la suite

Une étude publiée avant-hier a révélé qu’une prise prolongée d’un complément du bétacarotène, un anti-oxydant qui se convertit en vitamine A dans l’organisme, protégerait contre le déclin des capacités mentales, souvent précurseur de la démence et de la maladie d’Alzheimer. Le bétacarotène, un pigment coloré se trouvant dans certains végétaux qui se convertit en vitamine A dans l’organisme, est une substance protégeant contre les dommages cellulaires provoqués par les radicaux libres, des molécules créées quand l’organisme transforme les aliments en énergie.  Lire la suite

Harmaceutique. Il s’agit du Neocalcigenol. Il est commercialisé depuis 15 ans déjà, ses quatre composants (le fluor, le calcium, la vitamine D et la vitamine C) ont un apport incontournable dans la prévention de quelques pathologies induites par les carences vitaminiques. A l’issue du premier symposium de prise en charge des carences vitaminiques, organisé à l’hôtel Mouflon d’or par les laboratoires algériens de développement pharmaceutique, LAD pharma, le P-DG de ces laboratoires, en l’occurrence M. Djebbar, a mis l’accent sur l’industrie pharmaceutique algérienne qui traverse une crise. Il dira à cet effet que «l’Algérie est frappée de plein fouet, et, malheureusement, un pays qui n’a pas de technologie est comme un pays sans drapeau, nous nous sommes engagés dans cette voie il y a déjà 20 ans».  Lire la suite

Organisée sous l’égide de la Société Algérienne de Médecine Esthétique (SAME), le 5e congrès national de médecine et de chirurgie esthétique aura lieu les 21, 22 et 23 novembre à la Bibliothèque nationale d’El Hamma et à l’EHS de Douéra, apprend-t-on auprès du docteur Mohamed Oughanem, président de la SAME. Ce 5ème congrès qui sera couplé cette année avec la première journée nationale de médecine anti-age, verra la participation de plus de 400 praticiens dont 8 étrangers. «Ce congrès à vocation internationale sera une occasion pour les spécialistes d’échanger les expériences dans le domaine de la chirurgie esthétique et faire le point sur les dernières pratiques dans le domaine » indiquera le docteur Oughanem et d’ajouter que ce rendez-vous s’inscrit dans le cadre du programme de formation médicale continue.  Lire la suite

Le projet du nouvel hôpital psychiatrique reste toujours confronté au problème du terrain d’assiette. Tout porte à croire qu’il sera transféré dans une zone éloignée du Nord de la région ou dans d’autres wilayas. Initialement, il était prévu à Bir Saf Saf, à 25 km à l’Est de Chlef, mais le terrain choisi a finalement été abandonné, car il est situé, selon des sources proches du dossier, dans un endroit rocheux. L’étude technique de l’œuvre, approuvée par le ministère de la Santé, a été achevée et l’on s’achemine vers le lancement de l’avis d’appel d’offres de sélection de l’entreprise de réalisation, apprend-on encore. Cependant, vu l’écueil rencontré, le projet sera sans doute retardé ou confié à une wilaya limitrophe.  Lire la suite

Des spécialistes ont convenu, hier à Alger, que les programmes alimentaires nationaux ont contribué "sensiblement" à la lutte contre la poliomyélite chez l’enfant. Le professeur Bensenouci Abdelatif, chef du service de pédiatrie à l’hôpital universitaire de Béni Messous, a souligné lors du premier colloque sur la prise en charge des carences en vitamines, que ces dernières sont indispensables au corps humain et que le système actuel de santé assure à chaque enfant une dose de vitamine "D" aux premier et sixième mois. Selon l’intervenant, cette dose qui représente 2000 unités administrées durant cet âge du bébé pourrait le prémunir de la poliomyélite tout au long de sa vie.  Lire la suite

“En actualisant la formation, on divisera par 3 le taux de mortalité maternelle et infantile en Algérie”. Le professeur Djamil Lebane, chef de service de néonatalogie au CHU Mustapha, a stigmatisé hier le "déphasage" de la formation en médecine avec les réalités de la santé actuelle en Algérie et insisté sur l’impératif de sa mise à niveau pour répondre aux besoins de l’enfant. "Beaucoup de progrès ont été réalisés en matière de prise en charge des nouveaux-nés, au vu de la diminution du taux de mortalité maternelle et infantile. Mais cela est encore insuffisant au regard des moyens existants", a souligné le Pr. Lebane, au forum d’El Moudjahid. Visiblement insatisfait, il a estimé que »les résultats obtenus ne sont pas proportionnels aux moyens disponibles" et expliqué ces insuffisances à la formation universitaire, en décalage avec la nouvelle réalité de la santé dans le pays.  Lire la suite

La préfecture des arrondissements de Ben M'Sick a organisé, samedi à l'école Ibn Al Amid dans l'arrondissement Salmia en partenariat avec l'association Mhabat Bladi, une caravane médicale multidisciplinaire au profit de personnes démunies. Cette caravane médicale multidisciplinaire, qui s'inscrit dans le cadre de l'initiative nationale pour le développement humain (INDH), a été organisée au profit de plus de 500 personnes qui ont bénéficié de consultations médicales gratuites, de prises en charge (des cas compliqués) et de dons de médicaments.  Lire la suite

Le bec de lièvre a toujours généré des complexes et une réelle sensation de honte aussi bien chez les parents que chez les enfants atteints de labio-palatines ou bec de lièvre, qui sont des malformations buccales et faciales naturelles ou autres déformations liées aux impondérables de la nature. Grâce a la médecine et en particulier a la chirurgie réparatrice et aux bénévoles de l’opération Smile, des enfants aux visages déformés vont enfin pouvoir redevenir des personnes normales avec un visage juvénile radieux sur lequel, l’on pourra dorénavant lire la joie de vivre et un réel plaisir de ressembler à tous les autres enfants.  Lire la suite

«Nos choix ne partent pas de rien. Bien au contraire. Ils sont le fruit de débats responsables, d’échanges d’idées et de concertations démocratiques.» La santé maternelle est un problème complexe nécessitant une série de compétences et d’interventions multidisciplinaires. Le constat qui est fait aujourd’hui, c’est qu’aucun des partenaires n’est en mesure d’en venir à bout tout seul, c’est pourquoi au PPS nous attirons l’attention des responsables sur le drame inhérent à la mortalité maternelle au Maroc. Le responsable du secteur de la santé au PPS, le professeur Houcine Louardi souhaite ardemment que son plaidoyer en faveur de la lutte contre la mortalité maternelle soit pris en compte par les responsables pour que cette lutte contre la mortalité maternelle soit inscrite comme priorité du nouveau gouvernement.  Lire la suite

Le secteur sanitaire de Cherchell a organisé, jeudi dernier, une journée médicochirurgicale au centre Grand bleu de Tipaza. Le programme de cette rencontre, à laquelle ont participé les effectifs du personnel médical et paramédical, s’est articulé autour des interventions des médecins sur des thèmes très intéressants. Incontestablement, c’est l’hospitalisation à domicile (HAD), la miellinisation des plaies, la cholécystotomie laparoscopique et l’appendicectomie laparoscopique qui ont suscité des questions de la part de l’assistance. Le directeur du secteur sanitaire a clôturé cette rencontre par un exposé intitulé « Etude comparative des coûts de chirurgie générale et de coeliochirurgie ».  Lire la suite

Par le biais de notre journal, j’ai suivi avec intérêt le séminaire sur la prévention des risques professionnels et de la médecine du travail, organisé par l’Oprebatp, au cours du mois dernier. C’est une initiative fort louable. Il est utile, voire nécessaire que de telles rencontres techniques et scientifiques, entre spécialistes et opérateurs économiques se multiplient et soient régulières dans une optique d’asseoir une politique en la matière, qui serait en adéquation avec la phase actuelle de transition, celle de l’économie de marché. On ne peut ignorer que toute politique économique qui ne reposerait pas sur la qualité physique et surtout psychopathologique du capital humain est vouée à l’échec. La préservation des ressources humaines est source de création d’autres richesses.  Lire la suite

Dans le cadre de la célébration du 32e anniversaire de la glorieuse Marche Verte, la province de Khémisset, à l'instar des autres régions du Royaume, a organisé plusieurs manifestations culturelles et artistiques. A cette occasion, le gouverneur de la province, Abderrahmane Zidouh, accompagné notamment du secrétaire général de la province Mohamed Darif, du chef de la division des Affaires générales, Mimoun Khoudari, des députés et de plusieurs personnalités civiles et militaires, s'est rendu a l'hôpital provincial de Khémisset où il a procédé au lancement des travaux de construction d'un centre d'hémodialyse. Le coût global de ce projet, qui s'étend sur une superficie de 585m2, se chiffre à 3.253.584,95 DH. Ce centre comprendra donc deux dortoirs hommes et femmes, deux salles d'hémodialyse et une salle de traitement. Les objectifs de ce projet, selon le délégué provincial de la santé Abdessamad Sarhani, se résument ainsi : prise en charge, soins médicaux, accueil des personnes atteintes d'insuffisance rénale.  Lire la suite

Le laboratoire Blédina a organisé, en étroite collaboration avec le service de pédiatrie du CHU de Sétif, un symposium sur le thème de la gastro-nutrition infantile. Cette manifestation s’est déroulée jeudi après-midi au niveau de l’auditorium Salah Kermi de l’université Ferhat Abbas. Plus de 240 médecins, pédiatres et généralistes exerçant au niveau des PMI, du secteur privé et public des wilayas de Annaba, de Bejaïa, Constantine, M’sila et Sétif étaient réunis pour l’occasion. L’invité d’honneur, le Dr Alain Bocquet de Besançon a animé une première conférence portant sur le reflux gastro-œsophagien, clinique, diagnostic et traitements, suivie par celle du Pr.Touabti de la Clinique de Chirurgie Infantile (CCI) du CHU de Sétif sur Le traitement chirurgical du RGO, qu’on peut relever chez une grande majorité de jeunes enfants.  Lire la suite

A l’initiative du bureau du conseil régional de déontologie médicale, conduit par les docteurs Hemaidia et Hallouz, une action de réconciliation a été initiée, jeudi, pour tenter de dénouer le conflit latent opposant le personnel protestataire au niveau de l’hôpital Ibn-Sina de Frenda au responsable de ce secteur sanitaire. Crise aggravée depuis qu’une partie du personnel de cette structure hospitalière observe une grève pour, ont tenu à préciser nos interlocuteurs, « comportement malveillant » et « décisions arbitraires ». Selon notre source, c’est au terme d’une mission de bons offices que « la raison a pu prendre le dessus sur les motivations des uns et des autres autour d’un conflit qui a nécessité l’intervention de la tutelle et la prise de décision à même d’atténuer la tension et permettre le retour à la sérénité dans cet hôpital de 180 lits, lequel avait continué à fonctionner en dépit de la grogne et des surenchères qui alimentaient la crise »  Lire la suite

L’idée d’une nouvelle pandémie de grippe dans un avenir proche, qui peut provoquer de nombreux décès sur la planète entière, est redoutée par les spécialistes. Lors de la table ronde organisée sur la grippe, qui s’est tenue mardi dernier à l’hôtel Hilton d’Alger, le débat a principalement porté sur la grippe et ses conséquences. Cette manifestation scientifique, qui à regroupé d’éminents professeurs en médecine de différentes spécialités, les responsables de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) et de l’Institut National de Santé Publique (INSP), a permis de connaître que les cycles de réapparition de la grippe mortelle sont espacés au maximum de 39 ans et que la dernière pandémie a été enregistrée en 1968/1969 à Hong Kong, soit 38 ans. « Nous pouvons raisonnablement nous attendre à ce que la grippe fasse des ravages », met en garde le docteur El Ouahed du CHU de Blida.  Lire la suite

La première maison des diabétiques a ouvert ses portes, la semaine dernière à Khémis Miliana, dans les locaux du premier hôpital de la ville, construit dans les années 40. Des locaux complètement réhabilités et rénovés. La mission première confiée à cette structure est la prise en charge des malades atteints par cette maladie, de plus en plus nombreux signale-t-on. Cette prise en charge comprend des soins appropriés à cette pathologie, le suivi de son évolution et, volet très important, assurer une éducation, une sensibilisation des patients en vue de la prévention des complications qui peuvent survenir dans le temps. L'aspect éducatif du patient afin qu'il assure le plus possible sa propre prise en charge par le respect des règles d'hygiène corporelle et alimentaire est un rôle que cette structure aura à assurer.  Lire la suite

Jusqu’à un cinquième des cas de tuberculose dans le monde pourrait être dû au tabagisme, selon des études présentées au Cap en marge d’un congrès mondial sur la santé pulmonaire. "Probablement plus de 20% du fardeau global de la tuberculose peut être attribué au tabac", a déclaré Karen Slama qui supervise les recherches sur le tabac au sein de l’Union internationale contre la tuberculose et les maladies pulmonaires, organisatrice du congrès. Fumer augmente le risque d’être infecté, de développer la maladie ou de mourir, a-t-elle ajouté lors d’une conférence de presse. Trois études différentes ont été menées cette année et ont fourni "des preuves suffisantes" d’un lien entre le tabac et la tuberculose, a-t-elle précisé. Karen Slama a souligné que le tabagisme passif était, également, un facteur de risque et a appelé à "contrôler le tabagisme".  Lire la suite

Des chercheurs américains ont découvert qu’un changement moléculaire à l’intérieur d’une protéine pouvait aggraver une tumeur chez les personnes atteintes d’une certaine forme de cancer du sein, selon une étude médicale. Cette découverte, réalisée par des médecins de l’Ecole de médecine de l’université de New York, pourrait permettre la mise au point de médicaments mieux ciblés pour lutter contre "le cancer du sein localement avancé", la forme la plus répandue de cette maladie dans les pays en voie de développement.  Lire la suite

La prise en charge de la surdité infantile et les conséquences que celle-ci peut engendrer ne cesse d'être au centre des préoccupations des spécialistes et du ministère de la Santé. Pas moins de 600 enfants naissent sourds chaque année en Algérie. Une réalité à laquelle doivent faire face toute la corporation, grâce à l'élaboration d'un programme national de prise en charge. Cette première évaluation nationale communiquée, jeudi, à l'hôtel Sheraton à l'occasion de la tenue de la journée régionale de l'Ouest organisée par les membres de l'Association nationale des ORL libéraux (ONAL) a été l'occasion pour rouvrir le débat sur plusieurs pathologies liées à la surdité, à la rhinite allergique et au cancer du cavum.  Lire la suite

Le ministre de la Santé publique, de la Population et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, était l'invité du club médical d'Aïn Témouchent (CMA) qui a organisé un séminaire sur la tension artérielle et les nouvelles recommandations européennes relatives à son évolution. D'éminents chercheurs et spécialistes algériens et étrangers ont animé les débats de ce séminaire pendant deux journées consécutives. Le représentant du gouvernement a, dans son intervention, mis en exergue la politique tracée par son département et qui vise principalement à «rapprocher la population de la santé et pas le contraire, comme ce fut par le passé». Pour ce faire, il a préconisé «l'élargissement des structures de santé publique dans les villes de l'intérieur».  Lire la suite

Des essais cliniques sont en cours pour deux nouveaux médicaments qui pourraient offrir un traitement simplifié et plus court de la tuberculose, selon la présidente de de l’Alliance TB, Maria Freire, initiatrice du projet. "Deux nouveaux médicaments prometteurs contre la tuberculose sont dans la phase d’essai clinique, ce qui permet aux patients du monde entier d’espérer un traitement plus court et meilleur", écrit Maria Freire dans un communiqué. L’Alliance TB est une initiative à but non lucratif qui cherche à développer de nouveaux médicaments contre la tuberculose puisque la maladie présente une résistance de plus en plus forte aux traitements actuels.  Lire la suite

Les laboratoires médicaux algériens seront soumis "dès l’année 2008" à un processus dit "assurance qualité", a-t-on appris hier à Paris auprès du professeur Smaïl Belazzoug, président de l’Association nationale des laboratoires d’analyses médicales (Alam). Dans une déclaration à l’APS en marge des journées internationales de biologie (Jib), le président de l’Alam a souligné que ce processus "va permettre à terme à chaque laboratoire de travailler dans des conditions très rigoureuses et d’assurer aux malades des analyses médicales fiables et d’excellente qualité".  Lire la suite

Un séminaire sur la gestion de l’Assurance Maladie Obligatoire (AMO) a réuni la CNSS et le CHU de Rabat, le 7 novembre. A l’occasion, un centre de l’AMO a été inauguré au CHU Ibn Sina. Un centre de l’AMO a été inauguré, mercredi, au CHU Ibn Sina à Rabat. Il s’agit, en fait, d’une agence, qui a pour but de faciliter l’accès des patients aux prestations médicales. Grâce à ce centre, ils pourront être rapidement pris en charge et n’auront pas à se déplacer vers d’autres agences. «Trop souvent, des patients, affiliés à la CNSS, oublient qu’ils ont le droit au régime de l’AMO», indique Pr. Al Charif Chefchaouni Mountassir, directeur du CHU Ibn Sina, lors d’un séminaire organisé dans le cadre de la mise en œuvre de la convention nationale entre les organismes gestionnaires du régime de l’AMO, les hôpitaux publics et la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). Le séminaire, placé sous le thème : «CNSS et hôpitaux publics : un partenariat durable en matière de gestion de l’AMO» a été l’occasion de sensibiliser et d’informer le corps médical sur l’AMO. Et pour cause, les médecins sont en contact direct et continu avec leurs patients.  Lire la suite

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Amar Tou, en visite, avant-hier, jeudi, à la wilaya de Aïn Témouchent, a relevé que "les indicateurs de santé ont rapproché l’Algérie des pays développés de l’OCDE". Le ministre faisait référence au dernier rapport de l’OMS sur l’Algérie qui constate une évolution favorable des indicateurs de santé et prédit la réalisation de ces objectifs à l’échéance 2015. Intervenant au cours des travaux des premières journées internationales de médecine interne ouvertes au sein de l’établissement hospitalier "Ahmed Benzerdjab", M. Tou est revenu sur la stratégie de son secteur qui vise à "rapprocher la santé de la population, rompant ainsi avec la tendance passée qui était de mettre les moyens essentiels dans les villes, là ou il y avait le plus de concentration humaine".  Lire la suite