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Professeur Larbi Abid
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Naissance de la médecine algérienne

La lutte anticancéreuse en Algérie

La lutte anticancéreuse en Algérie débuta sous l’occupation française. C’est en 1928 qu’intervient la création de principe du centre anticancéreux d’Alger, suivant de peu la réalisation des centres de Bordeaux, Paris et Lyon en 1923 ; De Montpellier, Strasbourg, Lille Rennes, Reims, Caen et Toulouse en 1924 ; de Marseille et Angers en 1925 ; et de Nancy en 1927. Le centre anticancéreux d’Alger était installé par le professeur Constantini dans les locaux de la clinique A de l’hôpital Mustapha. Ce centre, s’il avait le mérite de constituer le premier maillon dans la chaîne de la lutte anticancéreuse en Algérie ne pouvait prétendre à assumer ni le dépistage, ni le traitement de tous les cancers observés. Néanmoins le départ était ainsi donné et une consultation anticancéreuse fut instituée par les docteurs Laffont, Ferrari, Viallet et Duboucher.

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Revue de presse

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Algérie Importance du rôle du médecin référent dans le parcours de soins

Algérie presse service | Algérie | 12/01/2022 | Lire l'article original

ALGER - Le médecin référent joue un rôle central dans le parcours de soins en termes de prise en charge du patient et son orientation vers un médecin spécialiste, ou d’allègement de la surcharge qui pèse sur les services spécialisés, notamment au niveau des grands établissements hospitaliers dont les principales missions sont axées sur la recherche scientifique et la prise en charge des maladies complexes, ont affirmé des spécialistes à l’APS.

En vertu de l’article 22 de la loi 18-11 relative à la santé, le "médecin référent" ou plus communément appelé "médecin traitant" ou "médecin de famille", assure l'accueil du malade, effectue sa consultation et fait son diagnostic avant de le transférer vers un médecin spécialiste.
Il est stipulé à l’article précité que « tout patient accède, dans le cadre de la hiérarchisation des soins, aux prestations des services spécialisés de santé après consultation et sur orientation du médecin référent ».

Le président du Conseil de l’ordre des médecins, Dr Mohamed Bekat Berkani a affirmé que le respect du parcours de soins, tel que souligné dans les recommandations du Séminaire national sur la modernisation du système de santé organisé les 8 et 9 janvier en cours et en application de la loi relative à la santé, concernant le recours au médecin de famille, comme premier maillon dans le parcours de soins «contribuerait à améliorer les prestations sanitaires en garantissant au patient un suivi efficace dans le cadre de cette chaîne».

Dr Bekat Berkani a souligné que l’application de la loi relative à la santé était prévue après l’élaboration des textes y afférents, néanmoins la propagation de la pandémie (Covid-19) a « entravé » le processus de réformes engagées par l’Etat y compris celles prévues dans le secteur de la santé, saluant à l’occasion les nouvelles réformes annoncées, dimanche, par le président de la République lors du Séminaire national pour la relance du secteur de la santé, à travers la prise en charge des préoccupations matérielles et humaines dudit système.

Le chef de service épidémiologie et de la médecine préventive à l’Hôpital de Tipasa, Pr. Abderrezak Bouamra a souligné que la formation du médecin référent qui se convertit dans la plupart des cas en médecin généraliste est le fruit d’une longue expérience sur le terrain qui lui vaudra une bonne maîtrise de tous les indicateurs liés à la santé.
L’épidémiologiste a précisé, en outre, que la pratique du médecin référent a été évoquée il y a 20 ans mais « n’a pas été appliquée en raison de l’absence de lois régissant ce volet, l’intérêt de l’Etat étant focalisé sur d’autres domaines plus urgents, cependant, le développement du secteur et l’introduction de ce volet dans la formation pédagogique exigent désormais son application sur le terrain pour mieux s’adapter aux mutations de la société et aux développements scientifiques enregistrés de par le monde».

Pour sa part, le président de la société algérienne de médecine interne (SAMI), Pr Rachid Maalem, a estimé que l'orientation du malade vers un médecin référent avant le spécialiste s'inscrit dans le cadre de la modernisation du système et l'organisation de la chaîne de traitement. Il s'agit d'une pratique imposée par la réalité actuelle, dans le souci de réduire la pression sur les services spécialisées des établissements hospitaliers, d'une part, et réduire le temps et les charges dans le cas où le malade souffre de symptômes légers pouvant être pris en charge chez le médecin référent d'autre part.
Le même spécialiste a appelé, à cette occasion, à l'implication de la Caisse nationale de la Sécurité sociale (CNAS) dans l'introduction du médecin référent dans le parcours de soins du secteur privé, relevant la difficulté de cette tâche à laquelle la société devra s'habituer.

De son côté, le chef de service cardiologie à l'hôpital Nafissa Hamoud (ex. Parnet) à Alger, Pr Djamal-Eddine Nibouche, a insisté sur l'application de la pratique du médecin de référence, rappelant, à titre d'exemple, son rôle dans l'orientation des mamans quant au calendrier de vaccination des enfants, les soins dentaires chez cette catégorie, le dépistage précoce des maladies dangereuses et chroniques, l'orientation et la pédagogie thérapeutique.
Cette nouvelle mission en Algérie s'inscrit dans le cadre de l'organisation de la médecine permettant d'éviter les déplacements des malades entre plusieurs spécialités qui leur font perdre du temps, a-t-il dit, ajoutant que les malades ne sont pris en charge que lorsque des complications dangereuses apparaissent.
Le rôle de la médecine de référence est "très important" pour le système sanitaire futur du pays, a affirmé le même responsable.

Il convient de noter que les recommandations issues du 7e atelier relatif à l'organisation des soins au titre du séminaire national sur le renouvellement du système sanitaire ont mis en exergue le rôle du médecin référent dans le réseau de soins.

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