Accueil Santemaghreb.com Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

> Voir le bloc-notes


Informations Hospitalo-universitaires

Programme d'études

> Consulter tous les programmes


Documentation

> Consulter toute la documentation


Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


DEBAGHINE Mohamed Lamine (1917-2003)

Mohamed Lamine DebaghineMohamed Lamine Debaghine, né le 24 janvier 1917 à Alger, est issu d'une famille relativement aisée pour l'époque. Son père tenait un restaurant à Alger. Lettré en arabe, après des études secondaires, il obtient une bourse lui permettant de s'inscrire à la faculté de médecine où il obtiendra son doctorat.

> Consulter toutes les biographies


Naissance de la médecine algérienne

La participation multiforme du corps médical algérien à la révolution

Avant d’évoquer les différents types d’activités assumés par le corps médical algérien pendant la guerre d’indépendance, nous devons faire quelques remarques préliminaires.
Quand nous parlons de corps médical, cette dénomination englobe médecins, pharmaciens, dentistes, étudiants en médecine et paramédicaux diplômés ou non, dont l’activité a été solidaire et inséparable...

> Consulter toutes les rétrospectives

Revue de presse

Il y a actuellement 17958 articles disponibles dans la Revue de presse

Algérie Covid-19 : il faut avoir des indicateurs épidémiologiques solides pour prévenir d'éventuelles vagues

Algérie presse service | Algérie | 15/09/2021 | Lire l'article original

ALGER - Le chef de service d'immunologie au CHU de Beni Messous, professeur Reda Djidjik, a indiqué, mercredi à Alger, qu'il faudrait disposer d'indicateurs épidémiologiques "vrais et solides" pour prévenir une éventuelle 4e vague de la Covid-19, permettant d'avoir une capacité de réagir "rapidement" en vue de freiner une augmentation "exponentielle" des contaminations.

Le professeur Djidjik a estimé, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, qu'il fallait "avoir des indicateurs épidémiologiques vrais et solides" pour mieux gérer d'éventuelles vagues de la Covid-19, qui "sont aggravées par le comportement des citoyens", prévenant qu'on était pas à l'abri d'une 4e vague.
Ces indicateurs épidémiologiques, souligne le spécialiste en immunologie, "permettront de réagir rapidement" et "d'avoir cette capacité de réagir le plus vite possible pour freiner un peu une recrudescence de cas, une augmentation exponentielle des contaminations et éviter la saturation des hôpitaux".

Selon le professeur Djidjik, "l'essentiel c'est de s’organiser et de faire face, et de ne pas se prendre en plein visage une nouvelle vague", comme le cas de la 3e vague qui a été, a-t-il affirmé, "très meurtrière et très compliquée à gérer".
"Il faut agir en faisant des confinements très stricts de la population", recommande le professeur Djidjik, soulignant qu'aucun spécialiste dans le monde "ne peut prédire l’arrivée d’une 4e vague".

Interrogé sur la possibilité d'élargir la vaccination aux enfants, le professeur en immunologie a déclaré qu'il était "possible" de le faire en Algérie à l'instar de plusieurs pays dans le monde. "On y pense. Le conseil scientifique s’est réuni sur cette question. On en a discuté. Et probablement ça va venir", a-t-il affirmé, estimant qu'il faut vacciner les enfants, âgé entre 12 et 18 ans "même s’il est compliqué maintenant d’accepter ça sur le plan éthique".
"Il faut vacciner les enfants pour protéger les adultes, il faut le faire", a insisté l'immunologue, qui assure qu'aujourd'hui "la transmission par les enfants est possible et que le variant Delta est très contagieux".

Pour ce qui est d'une éventuelle 3e dose du vaccin, le professeur Djidjik estime que "la question se pose chez nous, puisque nous avons entamé la campagne de vaccination en janvier 2021".
"Il faut s’ouvrir pour une 3e dose pour les personnes qui ont plus de 8 mois de vaccin, peut-être toucher les personnes vulnérables qui ont des maladies chroniques et certaines catégories bien particulières et ne pas l’élargir à toute la population", a-t-il préconisé.

Quant à l'interchangeabilité des vaccins, le professeur Djidjik a affirmé que le ministère de la santé "est en train de réfléchir sur cette éventualité", soulignant que "nous n’avons pas le choix sur l’approvisionnement des types de vaccins".

Par ailleurs, répondant à une question sur le fait de rendre la vaccination obligatoire, comme cela a été le cas dans certains pays à travers le monde, Pr. Djidjik a estimé que le recours à la vaccination devrait être un "geste volontaire".

Lire l'article original

Retour



CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !