Accueil Santemaghreb.com Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

> Voir le bloc-notes


Informations Hospitalo-universitaires

Programme d'études

> Consulter tous les programmes


Documentation

> Consulter toute la documentation


Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


CHELLALI Abdelhafid (1946-1994)

Abdelhafid ChellaliL'amphithéâtre "CHELLALI" est mitoyen du laboratoire de physiologie au niveau de la faculté de médecine d'Alger. Qui était monsieur CHELLALI ?

> Consulter toutes les biographies


Naissance de la médecine algérienne

L’évolution de l’Urologie au Maghreb

Pour avoir une idée de la place de l’urologie par le passé, je rappellerai deux dates révélatrices de l’histoire de l’Urologie. 1731, lors de la fondation de l’Académie Royale de Chirurgie considérée comme le début de l’ère moderne de la chirurgie français, la taille vésicale était l’opération la plus sophistiquée et la plus dangereuse. Son succès était lié à l’habilité du chirurgien et c’est elle qui consacrait sa renommée.

> Consulter toutes les rétrospectives

Revue de presse

Il y a actuellement 17976 articles disponibles dans la Revue de presse

Algérie Pr Abdelatif Bensnouci. Président de la Société algérienne de pédiatrie : « Faible risque de contamination par les enfants de moins de 11 ans »

El Watan | Algérie | 21/10/2020 | Lire l'article original

strong>

Je dois dire que selon mes lectures et la littérature disponible au niveau international sur les enfants et l’infection de la Covid-19, il est bien rapporté que les enfants de moins de 11 ans ne sont pas contagieux.
D’ailleurs, le nombre d’enfants touchés par la maladie est inférieur à 1%, selon les différentes études publiées dans le monde et c’est exceptionnel. Ils restent donc moins contaminants que les adultes.
Les mesures de prévention telle que le lavage des mains ou bien le recours à la solution hydroalcoolique peuvent protéger ces enfants de tous les autres virus respiratoires qui risquent d’être dangereux pour eux, notamment les enfants atteints de pathologie chronique.
Il est important que les enfants de cet âge-là renouent avec les activités pédagogiques, culturelles et sportives. Leur confinement depuis près de huit mois aura, sans doute, des conséquences fâcheuses au plan psychologique.

Est-ce que le port du masque est recommandé pour ces enfants ?

Il est, à mon sens, inutile d’imposer le port du masque aux enfants de moins de 11 ans. Il doit être obligatoire, par contre, pour l’enseignant et le staff chargé de leur encadrement, que ce soit à l’école, dans les crèches qui doivent respecter aussi la distanciation physique avec ces élèves.
Si l’enseignant, par hasard, est testé positif, il peut contaminer ces enfants et le plus grave serait de toucher les plus vulnérables. J’insiste sur le lavage des mains qui demeure le moyen fondamental de prévention contre ces virus et les microbes.

Justement, le risque de croisement des deux épidémies, à savoir la grippe saisonnière et la Covid-19 inquiète les parents d’élèves. Y a-t-il un risque de complications ?

Le respect des gestes barrières, en l’occurrence le lavage des mains, le port du masque pour les adultes, constituent les moyens efficaces pour faire barrage aux virus et limiter les contaminations.
La tendance à la hausse du nombre de cas déclarés s’explique par le relâchement constaté ces derniers temps vis-à-vis de ces mesures barrières.
D’ailleurs, il a été démontré que la prévalence des infections respiratoires a sensiblement baissé dans l’hémisphère sud (l’Australie, Argentine, Nouvelle-Zélande où il y a eu moins de cas de grippe saisonnière, grâce justement au respect des gestes barrières.
C’est durant cette période hivernale, favorisée par la promiscuité, que les épidémies, comme la grippe saisonnière, les rhumes, les rhinopharyngites, les bronchiolites et la rougeole, se manifestent.
Comme c’est le cas du virus respiratoire syncytial, qui est la cause la plus fréquente, dans le monde, d’infections respiratoires des jeunes enfants qui sévit du mois de novembre au mois d’avril.

Je tiens au passage à lancer un appel aux parents à faire vacciner leurs enfants pour ceux qui ne l’ont pas fait et surtout à faire les rappels même pour les enfants âgés de 6 ans, comme cela est établi dans le calendrier national de vaccination.
Je dois préciser que la contamination par la rougeole est plus expansive que la Covid-19. Un cas Covid-19 contamine 2 à 3 personnes, par contre un cas de rougeole peut contaminer entre 15 à 20 personnes.

La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière est prévue, selon le ministère de la Santé, au début du mois de novembre. Est-ce qu’il est recommandé de vacciner les enfants ?

Les recommandations de l’Oms sur la vaccination contre la grippe saisonnière donnent la priorité aux personnels de santé, aux personnes âgées de 65 ans et plus, aux malades chroniques, aux femmes enceintes et les enfants qui présentent les facteurs de risque et éviter les autres maladies hivernales à eux et à leurs proches.
Pour le moment, on ne peut pas parler de grippe, surtout qu’il n’y a pas eu encore de fortes baisses de température et de refroidissement. Les gestes barrières contribueront de manière significative à réduire les cas de grippe et cela a été constaté dans l’hémisphère sud.
Mais, en cette période de Covid-19, il est important d’accorder l’attention voulue à tous les symptômes et distinguer les cas de grippe des cas de Covid-19 afin d’isoler et casser la chaîne de contamination.

Djamila Kourta

Lire l'article original

Retour



CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !