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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


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Des médecins cubains en Algérie
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Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


BELKHODJA Janine-Nadjia

Professeur Janine-Nadjia BelkhodjaCette dame au caractère bien trempé, fait partie de ces icones que l’Algérie s’enorgueillit d’avoir enfantées un jour. Née à Alger un 2 avril de 1928, elle a brisé tous les tabous. D’abord celui des enfants nés de mariages mixtes, de militante communiste avec l’étiquette étriquée d’apostasie- « Je suis profondément croyante »- chose qu’elle affirme dans l’émission radiophonique « J’avoue que j’ai vécu » de Malika Lafer, celui de l’étudiante indigène qui ne pouvait prétendre qu’au concours d’externat et enfin celui du planning familial lancé à la fin des années 60, une fois la souveraineté nationale recouvrée.

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Naissance de la médecine algérienne

La chirurgie plastique en Algérie

Durant de nombreuses décennies, la chirurgie plastique a été le parent pauvre de la chirurgie générale. S'occupant surtout des brûlés et des pertes de substances cutanées post-traumatiques, cette discipline a pris son essor pendant la deuxième guerre mondiale. En Algérie, Alger a connu deux grands chirurgiens plasticiens qui ont contribué par leur travaux à l'essor de la chirurgie plastique mondiale.

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Revue de presse

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Algérie Le Dr Mourad Ouali, maître assistant en réanimation au CHU de Béni-Messous : « Il y a une hausse des formes sévères de la maladie »

El Moudjahid | Algérie | 30/06/2020 | Lire l'article original

Le Dr Mourad Ouali, maître-assistant en réanimation au CHU Béni-Messous évoque une sérieuse recrudescence de la maladie et révèle que les lits d’hospitalisation au niveau des quatre services ouverts pour la prise en charge des cas de la Covid-19 ainsi que de la réanimation sont à présent complets.

Il assure que beaucoup de malades présentant des symptômes sont reçus au niveau du CHU. « On enregistre depuis quelques temps des cas de détresses respiratoires », s’inquiète le spécialiste en réanimation, ajoutant que depuis la mi-avril, le service de réanimation n’a pas été saturé comme c’est le cas depuis une dizaine de jours. « Nous n’arrêtons pas de sensibiliser les citoyens mais malheureusement je ne comprends pas pourquoi les mesures barrières ne sont pas appliquées », s’indigne-t-il.

Selon lui, le comportement des citoyens est inexplicable, notamment ceux qui mettent en doute encore l’existence du virus. « Ce qui est complètement absurde. On comprend bien que le confinement prolongé a eu son impact sur la psychologie de la population mais ce n’est pas au point de sortir comme sans la moindre protection et sans respect des mesures barrières », dit-il. Le Dr Ouali prévient que le système de santé risque de ne pouvoir faire face à un grand flux de malades, notamment en détresse respiratoire, et explique que pour un lit de réanimation, c’est toute une équipe qui travaille au sein de ses services et qui risque de s’épuiser. « Actuellement, les grands CHU de la capitale sont saturés. J’imagine que la situation est la même dans d’autres wilayas », estime-t-il, dissimulant mal ses inquiétudes face à cette situation. Il dira que « si cela continue à ce rythme, on a peur de ne plus pouvoir recevoir les cas de détresse respiratoire ». Il recommande aux citoyens de ne pas se déplacer à l’hôpital qu’en cas d’apparition de véritables signes respiratoires. « C’est le seul moyen pour que les capacités des lits de réanimation du CHU de Béni-Messous ne soient pas saturées et submergées », note-t-il, révélant qu’une note du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière instruit l’ouverture des hôpitaux du jour pour recevoir les cas modérés de coronavirus afin de les traiter en ambulatoire. « En attendant, le seul moyen de désengorger les hôpitaux est d’exhorter les citoyens à pas se déplacer vers les structures sanitaires que lorsqu’ils ont une fièvre persistante une toux qui devient gênante ou une gêne respiratoire », mentionne-t-il tout en affirmant que les personnes âgées ou celles ayant des facteurs de risques à cause de maladies chroniques (diabète, tension artérielle, obésité, immunodéprimés…) sont parmi les sujets qui pourront développer les formes sévères de la maladie.

Mettant l’accent sur la responsabilité du citoyen pour freiner la propagation de la Covid-19, le spécialiste souhaite une véritable prise de conscience des citoyens, d’autant plus que ces derniers temps, de nombreux cas issus du personnel médical et paramédical et même du corps commun de l’hôpital ont été infectés par le coronavirus. « Le personnel de santé est épuisé. Cela fait quatre mois qu’ils luttent contre cette maladie. C’est tout à fait normal que la vigilance commence à baisser », reconnait le Dr Ouali qui soutient que le personnel médical ne pourrait plus faire les mêmes efforts sans qu’il ne soit atteint. « C’est pour cette raison que nous appelons les citoyens pour nous aider dans cette lutte en respectant les mesures protection et en adoptant les gestes barrières. C’est cela qui pourra les sauver et sauver d’autres personnes », assure-t-il.

Kamélia Hadjib

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