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Professeur Larbi Abid
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Abdelhafid ChellaliL'amphithéâtre "CHELLALI" est mitoyen du laboratoire de physiologie au niveau de la faculté de médecine d'Alger. Qui était monsieur CHELLALI ?

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La lutte anticancéreuse en Algérie

La lutte anticancéreuse en Algérie débuta sous l’occupation française. C’est en 1928 qu’intervient la création de principe du centre anticancéreux d’Alger, suivant de peu la réalisation des centres de Bordeaux, Paris et Lyon en 1923 ; De Montpellier, Strasbourg, Lille Rennes, Reims, Caen et Toulouse en 1924 ; de Marseille et Angers en 1925 ; et de Nancy en 1927. Le centre anticancéreux d’Alger était installé par le professeur Constantini dans les locaux de la clinique A de l’hôpital Mustapha. Ce centre, s’il avait le mérite de constituer le premier maillon dans la chaîne de la lutte anticancéreuse en Algérie ne pouvait prétendre à assumer ni le dépistage, ni le traitement de tous les cancers observés. Néanmoins le départ était ainsi donné et une consultation anticancéreuse fut instituée par les docteurs Laffont, Ferrari, Viallet et Duboucher.

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Revue de presse

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Algérie Journée mondiale de lutte contre la tuberculose : L’OMS appelle à une meilleure prévention

El Moudjahid | Algérie | 26/03/2020 | Lire l'article original

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a appelé mardi dernier les pays à déployer plus largement le traitement préventif de la tuberculose et éviter ainsi que les personnes ayant une infection tombent malades au moment où le monde fait face à la pandémie du Coronavirus (Covid-19).

Dans un communiqué publié sur le site de l'OMS à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose le 24 mars, le Directeur général de l'organisation, Adhanom Ghebreyesus, a rappelé que la pandémie actuelle du coronavirus montre «combien les personnes qui ont une maladie pulmonaire et un système immunitaire affaibli peuvent être vulnérables».
«Le monde s’est engagé à mettre fin à la tuberculose d’ici à 2030 : une meilleure prévention est indispensable pour y parvenir. Des millions de personnes doivent pouvoir prendre un traitement préventif afin d’empêcher l’apparition de la maladie, d’éviter des souffrances et de sauver des vies», a-t-il écrit, rappelant que la maladie demeure l’infection la plus meurtrière au niveau planétaire. En 2018, 10 millions de personnes sont tombées malades de la tuberculose qui a coûté la vie à 1,5 million de personnes.

«Alors que partout dans le monde les gens s’unissent pour commémorer la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose, l’OMS appelle les gouvernements, les communautés touchées, les organisations de la société civile, les prestataires de soins, les donateurs, les partenaires et l’industrie à unir leurs forces et à renforcer l’action – en particulier pour le traitement préventif – afin que personne ne soit laissé de côté», a déclaré la Dre Tereza Kasaeva, directrice du Programme mondial de lutte contre la tuberculose.
«Ces nouvelles orientations de l’OMS montrent la voie à suivre pour que des millions de personnes aient rapidement accès à de nouveaux outils et à des schémas plus courts et plus sûrs de traitement préventif. Il faut agir dès maintenant», a-t-elle indiqué.

D’après les estimations, un quart de la population mondiale serait infectée par le bacille tuberculeux. Ces personnes ne sont ni malades ni contagieuses. Cependant, elles risquent davantage de développer la tuberculose-maladie, en particulier si leur système immunitaire est déjà affaibli. Le traitement préventif permettra d’empêcher qu’elles tombent malades tout en réduisant le risque de transmission dans la population générale.
Même si des progrès ont été accomplis vers les cibles fixées à la réunion de haut niveau des Nations unies pour mettre fin à la tuberculose, en 2018, le traitement préventif de la tuberculose a été largement négligé.

Les dirigeants mondiaux se sont engagés à garantir l’accès au traitement préventif de la tuberculose pour au moins 24 millions de contacts de personnes ayant une tuberculose évolutive, et pour 6 millions de personnes vivant avec le VIH, d’ici à 2022. Nous sommes loin du compte aujourd’hui : en 2018, les pays ont placé sous traitement préventif moins de 430 000 contacts et 1,8 million de personnes.
Ainsi, l’OMS recommande d’intensifier le traitement préventif de la tuberculose parmi les populations les plus à risque, y compris les contacts de patients tuberculeux au sein du foyer, les personnes vivant avec le VIH et les autres personnes à risque, ayant une immunité réduite ou vivant dans des lieux très fréquentés.
Elle recommande d’intégrer les services de traitement préventif de la tuberculose aux initiatives actuelles de recherche des cas de tuberculose évolutive. Tous les contacts de patients tuberculeux au sein du ménage, ainsi que les personnes vivant avec le VIH, doivent être dépistés pour la tuberculose évolutive. Si la maladie est exclue, un traitement préventif doit être entamé.
La tuberculose reste la principale cause de décès chez les personnes atteintes du VIH. Le traitement préventif agit en synergie avec le traitement antirétroviral pour prévenir la tuberculose et sauver des vies.
Les gouvernements, les services de santé, les partenaires, les donateurs et la société civile devront redoubler d’efforts pour faciliter l’accès au traitement préventif de la tuberculose et atteindre les cibles.

Pour dépister l’infection tuberculeuse, l’OMS recommande d’utiliser soit le test cutané à la tuberculine, soit le test de détection de l’interféron gamma. Ces deux moyens de dépistage sont utiles pour trouver les personnes qui tireraient le plus grand bénéfice du traitement préventif, mais ne doivent pas empêcher de renforcer l’accès. Pour les personnes vivant avec le VIH et pour les enfants de moins de 5 ans en contact avec des personnes ayant une tuberculose évolutive, le dépistage de l’infection tuberculeuse n’est pas requis avant d’entamer le traitement préventif.
L’OMS préconise également de nouveaux schémas plus courts de traitement préventif, en plus du schéma classique reposant sur l’administration quotidienne d’isoniazide pendant 6 mois. Ces options thérapeutiques sont : l’administration quotidienne de rifapentine et d’isoniazide pendant 1 mois, l’administration hebdomadaire de rifapentine et d’isoniazide pendant 3 mois, l’administration quotidienne de rifampicine et d’isoniazide pendant 3 mois et l’administration quotidienne de rifampicine seule pendant 4 mois.

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