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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
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BENLARBEY Mohamed Seghir (1850-1939) - Premier médecin algérien

Né au mois de Safar 1267 correspondant au mois de Décembre 1850 à Cherchell, Mohamed Seghir est l'un des trois frères Benlarbey tous érudits en langue française. Le plus âgé, Mohamed I'ainé est interprète, le second Kaddour, médecin dans les palais de Tunis, puis à Constantine.

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Naissance de la médecine algérienne

L'école dentaire d'Alger : 50 ans, réalités et perspectives

C'est en 1950 que fut crée l'Institut d'Odonto-Stomatologie par l'arrêté du 27 juillet 1950. Depuis cette date et jusqu'à l'indépendance, l'enseignement était réalisé par des chirurgiens dentistes à mi-temps et des prothésistes. Les matières fondamentales et médicales étant enseignées par la faculté de médecine. Cet institut formait des chirurgiens dentistes à orientation vers le secteur privé.

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Revue de presse

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Algérie Lutte contre le coronavirus : Le traitement à la chloroquine se généralise

El Watan | Algérie | 26/03/2020 | Lire l'article original

Le dispositif comporte de nombreuses étapes à mettre en œuvre selon l’évolution de la situation épidémique.

Validé par le comité d’experts sous la direction générale de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, le dispositif de prise en charge du patient Covid-19 est entré en vigueur le 23 mars.

«Le travail a été entamé depuis plusieurs semaines selon l’évolution de la situation, après évaluation de toutes les données relatives à la gestion de cette épidémie», nous confie notre source, en précisant que deux protocoles ont été validés selon les cas.

Ce dispositif comporte de nombreuses étapes à mettre en œuvre en fonction de l’évolution de la situation épidémique.

Plusieurs recommandations et directives sont introduites en fonction de toutes les situations éventuelles, que ce soit pour le niveau d’alerte (I, II et III) et l’état clinique du patient Covid-19 qui sont définis rigoureusement en trois catégories, à savoir bénin, modéré et sévère. Des protocoles thérapeutiques spécifiques et les lieux d’hospitalisation sont prévus pour les trois cas de figures bien spécifiés.

Outre les cas bénins testés positifs, jugés sans gravité mais surveillés, des directives nationales portant sur les protocoles thérapeutiques sont précisées pour les deux derniers cas, à savoir cas modéré et cas sévère.

Ces patients sont pris en charge en milieu hospitalier spécialisé (services d’infectiologie, médecine interne ou pneumologie) et bénéficient de traitement médicamenteux.

Il est souligné dans l’instruction que «pour tous les patients présentant une forme modérée, une forme avec une pneumonie et/ou une forme sévère suspecte d’une infection Covid-19, il sera prescrit, en l’absence de contre-indication et sous surveillance médicale, en première intention, la chloroquine à raison de 500 mg deux fois par jour pendant 5 à 7 jours ou l’hydroxychloroquine à raison de 200 mg trois fois par jour pendant 10 jours».

Une autre prescription est prévue en deuxième intention avec le Lopinavir/Ritonavir (deux antirétroviraux) en respectant les règles d’utilisation, et ce, pendant 5 à 7 jours.

«Ces recommandations nationales ont été prises sur la base de certaines études et publications réalisées en Chine et aux Etats-Unis, sachant que les médicaments concernés sont déjà utilisés chez nous dans d’autres indications, comme le paludisme et dans les maladies auto-immunes, telles que le lupus», ajoute notre source.

Le recours à la réanimation répond aussi à certaines exigences, notamment concernant l’état clinique du patient, des équipements et du traitement.

«La présence d’un critère majeur et de deux critères mineurs justifie l’admission en réanimation», est-il recommandé, tout en définissant les patients concernés : «Ceux qui présentent une insuffisance respiratoire aiguë rapide, inexpliquée, avec ou sans notion de contage, ou des patients déjà hospitalisés et dont l’apoxémie n’est pas corrigée par l’oxygénothérapie».

Ces traitements, souligne notre source, sont actuellement prescrits dans certains établissement de santé, notamment dans les services des maladies infectieuses, et ils sont en cours d’essai pour le Covid-19 sous forte surveillance.

Djamila Kourta

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