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Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


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Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


AIT OUYAHIA Belgacem

Professeur Belgacem AitouyahiaLe Professeur Belgacem Ait Ouyahia est né le 10 octobre 1928 à Ain El Hammam (wilaya de Tizi Ouzou) où son père était instituteur. Après des études primaires dans sa région natale, il se rend à Alger pour effectuer ses études secondaires où il obtint son bac en 1948. Il s’inscrit par la suite à la faculté de médecine d’Alger et effectue son premier stage d’interne en 1953/1954, au service de chirurgie de l’hôpital d’Orléansville (actuellement Chlef).

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Naissance de la médecine algérienne

Commémoration du XXème anniversaire de la disparition du Pr. Bachir Mentouri

…j’ai ressenti le devoir de rédiger et d’insérer dans le numéro 8 de la revue « Le journal du Praticien » de l’année 1996, un hommage à notre Maitre, le Pr. Bachir Mentouri qui venait malheureusement de disparaitre après une longue maladie. J’ai quitté la CCA vingt ans auparavant, mais mes souvenirs étaient restés intacts. J’ai relu ce que j’avais écrit alors. Aujourd’hui, je n’aurais pas rajouté ni supprimé une ligne de ce qui me paraissait, à l’époque, la traduction fidèle et sincère de la trajectoire de cet »honnête homme » dans l’acceptation la plus noble du terme.

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Revue de presse

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Algérie Diabète : 5% seulement des diabétiques ont besoin de médicaments innovants

Algérie presse service | Algérie | 17/11/2019 | Lire l'article original

Alger - Des diabétologues et des spécialistes en médecine interne ont affirmé, samedi à Alger, que 5% seulement des diabétiques de type 2 "ont réellement besoin d'un traitement médicamenteux innovant". Intervenant lors d'une conférence de presse, animée avec une élite de spécialistes, en marge de la clôture du 21ème congrès national de diabétologie, le chef de service de diabétologie-endocrinologie au Centre hospitalo-universitaire Hassani Isaad de Beni Messous, Pr. Mourad Samrouni a indiqué que "la Caisse Nationale des Assurances Sociales (CNAS) refuse d'inscrire les médicaments innovants sur la nomenclature des médicaments remboursables, en raison de leurs coûts, sans se soucier de leur efficacité".

Parmi les autres complications, le Pr. Semrouni, également président de la Société algérienne de diabétologie, a cité l'Accident Vasculaire Cérébral (AVC) et la crise cardiaque, ajoutant que ce type de traitement assure l'équilibre glycémique et lutte contre l'obésité".

Selon le spécialiste, "prescrire ce traitement à 5% des diabétiques contribue, au fil du temps, à réduire les coûts, étant donné que la catégorie la plus exposée à cette maladie ne cesse de s'accroître".

Pour sa part, le Pr. Mansour Brouri, spécialiste en médecine interne à l'Etablissement public hospitalier (EPH) de Birtraria a indiqué que "le diabète qui prend des proportions alarmantes en Algérie et dans le monde, vient en quatrième position des maladies chroniques mortelles".

Si les autorités publiques n'arrivent pas à maitriser les facteurs de risque, la hausse de l'obésité (13 millions d'Algériens en excès de poids) et l'absence de contrôle effectif du diabète (touchant 15 % des personnes âgées entre 18 à 69 ans), l'enregistrement de nouveaux cas aura "des retombées désastreuses sur la santé et l'économie nationale".

En dépit des résultats enregistrés en matière de prise en charge du diabète en Algérie depuis 2008, similaire à celle appliquée dans les pays développés, ce traitement a, néanmoins, régressé en raison du non recours aux molécules innovantes, a indiqué Pr Brouri.

Adnan Zaamoum, chef de service de médecine interne à l'Etablissement hospitalier universitaire (EHU) de Constantine a cité "l'avantage des médicaments innovants aussi bien pour le malade que pour l'économie nationale, se référant aux résultats de ce traitement dans les pays l'ayant adopté".

Pour sa part, Yacine Sellam, maître-assistant à l'université d'Alger en pharmaco-économie a évoqué le fardeau qu'est le diabète pour la CNAS, vu qu'il représente, à lui seul, 28,2 % du coût global des médicaments remboursés".

Les coûts indirects de la prise en charge du diabète, soit de ses complications ont dépassé 230 milliardsde DA (1.9 milliard de dollars) contre près de 290 milliards de DA pour la prise en charge du diabète et de ses complications, soit 1/5 des ressources destinées au secteur de la santé, a-t-il indiqué.

L'introduction des médicaments innovants évitera au malade les complications et une mort précoce, et assurera des ressources financières à la caisse et au secteur de la santé.

De son côté, le président de l'Association des diabétiques de la wilaya d'Alger, Fayçal Ouhadda a cité les problèmes dont souffrent certains diabétiques, insistant sur l'impératif d'introduire les nouveaux médicaments que réclament les malades.

Il a appelé les spécialistes à "appliquer les recommandations mondiales des associations et sociétés scientifiques européennes et américaines en Algérie, en adéquation avec les derniers développements survenus à travers le monde".

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