Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


encart_diam_crosspharm

Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


vig_viral_facts


Vous souhaitez vous abonner à Médecine d'Afrique Noire, Médecine du Maghreb ou Odonto-Stomatologie tropicale ? Consulter des articles ? Rendez-vous sur le kiosque d'APIDPM - Plus d'informations


LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue


NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions


Revue de presse

Trier les actualités par :

Maroc Maroc : les médecins du privé sensibilisent le ministère à leurs doléances

Libération | Maroc | 17/06/2017 | Lire l'article original

Ils en ont contre le fisc et des confrères du public qui empiètent sur leur plate-bande. Le Syndicat National des Médecins du Secteur Libéral (SNML) revient à la charge. Son bureau national a réitéré devant les responsables du ministère de la Santé ses demandes visant d'une part, à mettre fin à l'exercice illégal de la médecine et d'autre part, de procéder à la révision du système fiscal régissant la profession.

« La loi n° 131-13 relative à l'exercice de la médecine est claire. Elle stipule dans son article 108 que seuls les médecins du secteur libéral inscrits à l'Ordre sont légalement habilités à exercer dans celui-ci. Et du coup, l'exercice de la médecine dans ce secteur par des fonctionnaires du ministère de la Santé est un « exercice illégal de la médecine » puni par la loi 131-13 (Art. 108, 109) », nous a indiqué Badreddine Dassouli, président du SNML. Et d'ajouter : « La loi régissant la fonction publique interdit également le cumul de fonctions entre les secteurs public et privé ».

Notre source va plus loin. Elle estime que cette notion d' « exercice illégal de la médecine » concerne une série de personnes et de pratiques. « Il n'y a pas que les médecins du public en exercice dans le privé qui tombent sous le coup de la loi ; les personnes qui exercent la médecine alternative, les pharmaciens qui prescrivent des médicaments sans consultation médicale, les opticiens qui écoulent des lunettes de vue sans ordonnance et les médecins qui exercent dans des conditions inadéquates peuvent l'être également », nous a-t-elle précisé. Et d'ajouter : « Nous exigeons le respect de la loi et que chacun exerce dans son secteur propre. Nous sommes contraints de lutter contre ce fléau vu ses effets néfastes sur la formation de base des futurs médecins et sur les prestations médicales au sein des structures hospitalières publiques ».

Concernant le statut fiscal des cabinets médicaux, le bureau national estime qu'il est inéquitable au regard du rôle social que jouent les médecins. D'après lui, les cabinets médicaux sont abusivement pénalisés par cette fiscalité. « Il faut que la loi soit respectée et que chaque praticien exerce dans son propre secteur. « La loi nous considère comme des « personnes physiques » et nous inflige un taux d'imposition très élevé. En fait, on est traité sur un pied d'égalité avec des sociétés qui réalisent des chiffres d'affaires dépassant les 5 millions de DH pas an », nous a indiqué le président du SNMSL.

Et de poursuivre : « L'injustice fiscale est palpable. Les cotisations sont de l'ordre de 6% pour les médecins et de 0,5% pour les sociétés. L'impôt sur le revenu s'élève à 38% pour notre profession et à 10% pour les sociétés ». Face à cette situation, le bureau national de SNMSL envisage de proposer la transformation des cabinets médicaux en SARL. « Ce statut a déjà été acquis par les architectes et les experts comptables. Les médecins du secteur libéral et les dentistes sont encore dans l'attente », nous a-t-il déclaré. Et de conclure : « Notre objectif est d'avoir plus de justice fiscale et de clarté ».

Hassan Bentaleb

Lire l'article original

Toute l'actualité


CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !