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Algérie Rupture de médicaments : le ministère de la Santé face à une grave réalité

El Watan | Algérie | 08/01/2018 | Lire l'article original

L’installation d’une cellule de veille pour assurer le suivi de la disponibilité des médicaments annoncée hier par le Dr Hamou Hafed, directeur général de la pharmacie et des équipements au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, sur les ondes de la Chaîne 3 de la Radio nationale, vient confirmer l’existence du problème des ruptures de certains produits dans les pharmacies et dans les hôpitaux, en l’occurrence les produits d’oncologie.

Le ministère de la Santé avoue enfin pour la première fois l’existence d’une rupture de médicaments et sans pour autant donner les vraies raisons de cette indisponibilité connue depuis longtemps et accentuée cette année avec les nouvelles mesures du ministère des Finances et la Banque d’Algérie concernant les produits d’importation, dont la majorité sont des médicaments essentiels. Le directeur de la pharmacie a donc précisé que la rupture touchant certains de ces médicaments relève de « facteurs exogènes ».

« Pour l’année 2018, le ministère de la Santé prévoit, dans le cadre du comité de concertation, de se réunir mercredi prochain afin de créer une cellule de veille avec l’objectif de rendre disponible le médicament et de débattre de façon régulière des obstacles qui empêchent cette disponibilité », en précisant que le comité de concertation regroupe l’ensemble des opérateurs de la filière pharmaceutique, à savoir le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officines (Snapo), l’Union Nationale des Opérateurs de la Pharmacie (UNOP), le Syndicat Algérien de l’Industrie Pharmaceutique (SAIP), l’Agence Nationale des Produits Pharmaceutiques (ANPP), les représentants des distributeurs, ainsi que la Pharmacie Centrale des Hôpitaux (PCH).

Il a signalé qu’une première réunion a eu lieu en décembre dernier et a été consacrée à consolider l’aspect prévisionnel s’agissant des programmes d’importation des médicaments par les laboratoires pharmaceutiques. Mais les dossiers déposés depuis octobre 2017 baladent (circulent) encore entre les différentes commissions au sein du ministère (commission des prix, commission de concertation, etc.). En attendant des malades, des associations de malades et les professionnels de santé crient sans cesse en direction de ceux qui veulent bien les entendre, en vain.

L’association El Amel d’aide aux malades cancéreux a mainte fois dénoncé la rupture de médicaments dans les hôpitaux, dont certains sont indisponibles depuis quatre à cinq mois. « Même les produits de chimiothérapie de base ne sont pas disponibles », a-t-elle relevé, déplorant au passage la non-signature des Autorisations Temporaires d’Utilisation (ATU) pour certains médicaments dont les malades avaient déjà entamé le traitement.

Mme Kettab revient sur les médicaments cités dans le communiqué publié la semaine dernière par le ministère de la Santé en signalant que « parmi ces produits certains ne sont plus commercialisés en Algérie depuis des années et d’autres non utilisés alors que les médicaments réellement en rupture n’ont pas été cités », a-t-elle déploré en revenant sur le problème des ordonnances délivrées par les praticiens des centres anticancers alors que ces médicaments ne sont disponibles que dans les pharmacies des hôpitaux.

Djamila Kourta

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