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Algérie Le combat quotidien des unités neuro-vasculaires à Oran

El Watan | Algérie | 23/06/2016 | Lire l'article original

L’unité neuro-vasculaire de l’EHU 1er Novembre d’Oran a été installée, il y a à peine une année et demie. Située juste au-dessus du service des urgences et disposant d’une dizaine de lits, son rôle est de prendre en charge de manière optimale les malades atteints d’AVC qui nécessitent des soins particuliers et en urgence. « Il nous arrive d’être débordés, mais en général nous faisons face à un rythme d’admission ordinaire et, contrairement à ce qui pourrait être avancé, nous n’avons pas enregistré de pics durant cette première moitié du mois de Ramadhan », indique un médecin rencontré sur place.

L’unité prend même en charge des admissions provenant de wilayas limitrophes. Une ville comme Sig, relevant de la wilaya de Mascara, n’est qu’à une demi-heure d’Oran et il est donc plus pratique de transférer les cas urgents vers Oran.

De la même manière, selon le même médecin, l’unité a déjà accueilli des malades des wilayas de Mostaganem, Sidi Bel Abbès et Aïn Témouchent. L’avantage de cette unité réside dans le fait qu’elle regroupe dans un même lieu des médecins et du personnel paramédical qualifiés pour les interventions en extrême urgence. Théoriquement, les malades admis sont bien suivis et des soins intensifs leur sont prodigués avec une surveillance très étroite de leurs fonctions vitales. N’empêche, des citoyens se plaignent encore de la qualité de la prise en charge et c’est notamment le cas lorsque l’AVC cause des dégâts irréversibles et que le patient décède. Le gouvernement ambitionne de permettre à chaque citoyen d’être potentiellement relié, à moins d’une heure de temps, à une structure de prise en charge de cette pathologie pour intervenir le plutôt possible. C’est le ministre de la Santé qui l’a annoncé lors de l’une de ses dernières visites à Oran pour annoncer la généralisation de cette initiative à d’autres wilayas. « Il ne faut pas non plus focaliser sur l’unité de l’EHU car, au besoin, d’autres structures de soins sont tout à fait habilités à intervenir », indique le secrétaire général de la direction de la Santé d’Oran évoquant le service des urgences du CHU qui est également équipé pour intervenir.

Ce cadre de la Santé confirme, tout en tenant compte de la gravité de la maladie, que les structures hospitalières n’ont pas enregistré un pic inhabituel d’admissions justifiant le lancement d’une alerte sanitaire. Ce qu’il faut par contre, c’est de prendre au sérieux les symptômes apparentés à l’AVC, d’où la nécessité d’une véritable campagne de sensibilisation déjà entamée mais insuffisante. On pense notamment aux diabétiques qui, malgré les avis des médecins et surtout des imams, s’entêtent à jeûner s’exposant ainsi aux risques d’hypertension qui est un des facteurs déclencheurs. « Le corps humain est un tout et ce qu’il faut également, c’est de réhabiliter le rôle du généraliste en le dotant d’une meilleure formation pour intervenir en amont, à titre préventif », ajoute le même responsable. La cellule de communication nous a promis des statistiques relatives aux admissions et potentiellement aux décès enregistrés pour le cas des AVC, mais aucune suite n’a été donnée.

Djamel Benachour

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